L'alphabet arabe comprend 28 lettres basiques et une série de caractères spéciaux et de signes diacritiques. Il s'écrit de façon cursive et, contrairement à l'alphabet latin, on lit l'arabe de droite à gauche.
Les linguistes considèrent que l'alphabet arabe est un abjad, un système d'écriture qui ne contient aucune voyelle. Même si c'était vrai à l'origine, il existe aujourd'hui deux façons d'indiquer les voyelles. Les voyelles longues sont représentées grâce aux consonnes faibles ( ا (alif), و (waaw), et ي (yaa)), et les signes diacritiques facultatifs, appelés harakats, permettent d'avoir des sons de voyelles courtes et de meilleurs repères pour la prononciation.
Il n'existe pas en arabe de forme majuscule ou minuscule des lettres comme c'est le cas dans l'alphabet latin. Cependant, comme l'écriture arabe est cursive et connectée, chaque lettre a une forme différente en fonction de sa position dans un mot. Les quatre formes que peut avoir une lettre sont : la forme isolée, la forme initiale, la forme médiale et la forme finale. Il y a cependant des exceptions pour les lettres ا (alif), د (daal), ذ (dhaal), ر (raa), ز (zayn / zaa), et و (waaw) que l'on appelle les lettres égoïstes car elles ne se relient pas aux autres lettres. Ces lettres peuvent exister sous une forme isolée ou une forme finale, selon leur position.
Le fait que l'écriture arabe soit cursive a permis l'apparition de ligatures, deux lettres séparées écrites sous une forme conjointe, et d'autres lettres modifiées.
L'arabe n'est pas la seule langue qui utilise l'abjad arabe. D'autres langues comme le perse, l'ottoman (turc ancien), le sindhi, l'ourdou, le malais et le pachto l'utilisent aussi, mais avec quelques modifications.
Les linguistes considèrent que l'alphabet arabe est un abjad, un système d'écriture qui ne contient aucune voyelle. Même si c'était vrai à l'origine, il existe aujourd'hui deux façons d'indiquer les voyelles. Les voyelles longues sont représentées grâce aux consonnes faibles ( ا (alif), و (waaw), et ي (yaa)), et les signes diacritiques facultatifs, appelés harakats, permettent d'avoir des sons de voyelles courtes et de meilleurs repères pour la prononciation.
Il n'existe pas en arabe de forme majuscule ou minuscule des lettres comme c'est le cas dans l'alphabet latin. Cependant, comme l'écriture arabe est cursive et connectée, chaque lettre a une forme différente en fonction de sa position dans un mot. Les quatre formes que peut avoir une lettre sont : la forme isolée, la forme initiale, la forme médiale et la forme finale. Il y a cependant des exceptions pour les lettres ا (alif), د (daal), ذ (dhaal), ر (raa), ز (zayn / zaa), et و (waaw) que l'on appelle les lettres égoïstes car elles ne se relient pas aux autres lettres. Ces lettres peuvent exister sous une forme isolée ou une forme finale, selon leur position.
Le fait que l'écriture arabe soit cursive a permis l'apparition de ligatures, deux lettres séparées écrites sous une forme conjointe, et d'autres lettres modifiées.
L'arabe n'est pas la seule langue qui utilise l'abjad arabe. D'autres langues comme le perse, l'ottoman (turc ancien), le sindhi, l'ourdou, le malais et le pachto l'utilisent aussi, mais avec quelques modifications.
Dans nos leçons, nous indiquons aussi une transcription pour la plupart des mots et expressions. C'est une conversion du arabe vers l'alphabet latin.